lundi 21 janvier 2008

En vrac

Bien, un peu de tout et de rien cette fois-ci. Juste une petite précision à propos des dates des articles : c'est pas du tout la date de post mais celle de création de l'article. Oui, il s'est écoulé une semaine avant que je poste celui-ci, oui, je sais, et alors : D ?

1e classe Oggy et les cafards :
Voici le reportage évoqué la dernière fois...



Rien à rajouter, si ce n'est que l'astuce certes efficace d'entourer les pieds de lit de mousse à raser pour les empêcher de grimper ne les empêche pas de tomber du plafond.

Alex le Gentil Organisateur :
Lorsque j'ai effectué ma FGI, les classes donc, on nous a affirmé que nous serions formés tout au long de notre carrière. C'est parfaitement exact. Cette semaine j'ai effectivement vu une facette de mon boulot que je ne connaissais pas : assistante sociale. Ou mieux : animateur de quartier.
Mardi soir, j'étais dans un quartier pauvre (ahah, c'est tellement redondant) d'Abidjan pour projeter un film en plein air. N'étant pas intermittent du spectacle, mon rôle se limitait à surveiller le matos et faire de grands sourire à tous les pauv... à tous les gens. Ca m'a permis de constater que les enfants tout maigres avec un gros estomac existaient ailleurs qu'à la télé.

Si je trouve l'initiative charmante, je ne la vois pas comme faisant partie intégrante du boulot de mili... j'aurais plutôt vu une ONG s'occuper de ça (avec pourquoi pas une escorte légère au cas où). Je ne polémiquerai pas car je sais quels intêrets sous-tendent une telle action, ce n'est qu'une opinion.

Il faut sauver le soldat Alex :
Woah, je suis en forme pour trouver les titres de mes sous-parties, dites donc ! Hey.
Jeudi matin, j'ai pu suivre une fort intéressante formation sur l'embarquement dans une barque, le débarquement et l'abordage d'une plage. Ce n'était qu'une initiation, parce que ne durant qu'une seule mâtinée, et parce que je ne suis pas fantassin, mais on s'est bien fait plaisir comme il faut. Voici les petites choses qu'il fallait retenir :

-> La rangers française, notre chaussure officielle, est parfaitement étanche. Une fois que l'eau a est rentrée, elle ne ressortira plus.
-> On peut flotter, et même nager, avec le casque lourd et la frag (petit nom de notre gilet pare-balle de 15 kilos).
-> La lagune d'Abidjan ne décrochera pas son Pavillon bleu cet été.
-> S'empêtrer les pieds dans les roseaux et tomber à genoux dans l'eau quand on aide à porter un élément de pont de 175 kilos n'engendre pas forcément les éclats de rire escomptés pour tout le monde.

On a bien fait les mythos au niveau des photos, c'est juré vous en aurez une sur laquelle je figure, avec le casque, la frag, la saleté et Aphrodite (mon flingue).

Foot :
Et bonne chance aux collègues qui demain disputeront un match de foot (en ce moment c'est la CAN, qui passionne les Ivoiriens) contre des jeunes d'un des quartiers de la ville (le même que celui impliqué avec le film).
On espère un match équilibré, les jeunes s'entraînant toute la journée, mes collègues étant nourris et dotés de chaussures.

Tophos :
Et la sélection de photos de la semaine pour finir :

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/borg.jpg
Ca c'est pour le côté soldat insensible au coeur de pierre, aux nerfs d'acier, aux couilles en béton et avec tout un tas d'autres pièces non-organiques.

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/mytho2.jpg
Le nom de la photo est assez équivoque XD

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/deux.jpg
Ici avec un frère d'armes de type viking. Ma taille mais vingt kilos de plus. Ah, comme j'avais aimé la fois où, en guise de boutade, il m'avait soulevé de terre. D'un seul bras. En me tenant par les burnes. Sigh.

Alex, out

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samedi 19 janvier 2008

De la vie quotidienne

Non, je ne fus pas été au Cameroun. Pourquoi ? Ah, comme j'aimerais vous répondre... mais si la DGSE lit ce blog, je me retrouverai dans une mine d'uranium au Kazakhstan, et même si le Kazakhstan est la (je cite) "greatest country in the world, all other countries are run by little girls), je préfère la France. Pourquoi ? Ah, comme j'aimerais vous répondre...

Bien. Nonobstant ce léger changement de mon emploi du temps, ma vie ivoirienne continue, lancée telle un train magnifique sur la voie ferrée de la roxxance (avec en bonus, je le rappelle car c'est le fil rouge de notre émission, du paludisme).

En quoi est-elle consistée, cette vie trépidante ? De petits tous, de grands riens, de beaucoup de n'importe quoi et d'ordinateur, de cirage de rangers et d'une bose dose de mégalomanie en ce qui me concerne.

Voici donc un petit panel de ce que j'ai vu, appris, fais pendant les deux dernières semaines.

La faune :
Quand Alfred a tourné les Oiseaux, c'est le monstre pris en photo ci-dessous qui occupait ses pensées. Avant de partir, on m'avait mis en garde contre le paludisme, les petits culs des ivoiriennes et les balles d'AK-47. Personne, et je parle pas d'Ulysse, n'a pris la peine de nous raconter les horreurs de la Mésange Stuka.

Fer de lance de la Blitzkrieg en 39/40, le Stuka bombardait en piqué les alliés terrorisés, toutes sirènes hurlantes.
La Mésange Stuka fait bien pire. Volatile névropathe et très certainement communiste, ce dangereux spécimen complètement dépourvu d'émotion est capable de provoquer chez n'importe quelle personne saine d'esprit une peur primale, sans nom, que ne connaissait alors notre pauvre humanité décadente et fragile qu'au travers de monstres mythiques tels Cthulhu, les 4 cavaliers de l'apocalypse et Chuck Norris.
Aux bribes de récits, entendues le soir autour du feu, je ne prêtais pas attention. Allons, un oiseau gros comme le poing et qui vous attaque en piqué, arrachant vos orbites avant d'y pondre une larve qui vous dévore lentement, vous transformant en.. non, vraiment, je me disais "ahah, quels cons ces troupes de marines, le soleil a bien entamé leur dure-mère".

MAIS CA, C'ETAIT AVANT QUE DEUX DE CES CONNARDS DE PIAFS DE MERDE PLONGENT DANS MON PUTAIN DE PLAT 5 MINUTES AVANT LA FIN DE MON REPAS ET EN FOUTENT PARTOUT JUSTE AVANT DE SE BARRER COMME DEUX PEDALES. MERCI, BANDE D'ENCULES DE SALOPERIES D'OISEAUX DE MES BURNES.

Monde de merde.

Ci-dessus, la terrible Mésange Stuka. Hors-cadre : bain de sang.

Continuons avec un habitant plus sympathique de ce merveilleux pays. Enfin, sympathique. Disons plutôt que ce lézard (oui, il s'agit d'un lézard) n'est pas, comme tout ici d'ailleurs, tout seul dans sa tête. Psychorigide ? Oui, oui, j'aime ce terme, je l'approuve.

Cette bestiole, coloriée n'importe comment par un Dieu sous ecstasy, est une victime, cependant, et non un bourreau à l'image de la volaille précédente. Victime d'un environnement militaire on ne peut plus... militaire, le lézard pompeur a la particularité, vachement bien indiquée par le sobriquet dont je l'ai affublé, de, ahem, faire des pompes.

Non, mais,
littéralement faire des pompes. Cet espèce de laissé pour compte de l'évolution (et non, le Massif Cental, vous n'êtes plus seuls !), de sous produit génétique, a tellement peu de personnalité et d'amour propre que dès qu'il s'arrête de courir comme un con pour vérifier si son poursuivant a bel et bien cessé de le poursuivanter, il fait des pompes sur les pattes avant. Et puis repart vers des lendemains meilleurs, plus fort et plus TTA que jamais.

Je regrette de n'avoir qu'une maigre photo à vous montrer, mais fi. Mine de rien, le petit paltoquet mesure facile 30 cm voire plus pour certains.


Le lézard pompeur au repos.

La prochaine fois, nous découvrirons ensemble le serpent qui fait des tractions, l'antilope qui fait des abdos et pire, vous découvrirez en video, en chair et en chitine, des cafards.

My mission. It is not my war, my colonel :
Je... non, il n'y a rien à rajouter.



Trois jours plus tard, je me faisais effectivement niquer en train de lire, et j'ai repris 24h de garde. Les cafards me manquaient tellement. (alex, gros con, alex, gros con, alex, gros con, ad lib)

Sur ce... France ici Alex, je sors du réseau radio, terminé.

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vendredi 18 janvier 2008

Bonus !

J'ai réussi à baiser la connection d'ici : elle avait oublié que personne n'est connecté à 7h30, libérant de la bande-passante pour mon petit cadeau bonux pré-cameroun !
Voici donc une vidéo que les forces spéciales ont récupéré au ground zero par miracle peu après l'incident.


C'est époustouflissant.

Ils ont même pu sauver quelques photos décrivant le quotidien difficile de, ahem, moi :

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/laid.jpg
Votre serviteur en tenue, oui, merci, je savais déjà à propos de mon bronzage. Derrière moi, ma suite présidentielle.

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/mytho.jpg
La traditionnelle photo mytho, celle qui comme les vidéos de propagande de mon ministère chéri devrait vous donner une envie irrépressible de vous engager.

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/mytho1.jpg
La gendarmerie nous a fait un cours sur le fusil à pompe. Certes, la tenue ne fait pas très guerrier mais montre qu'on est prêts à tout, à tout moment. Non ? A retenir : oui, les gendarmes peuvent partir en OPEX !

http://intrepid.acenet-inc.net/~lekoursk/photos/RCI/scell.jpg
Quoi ? Passez trois heures de votre nuit dans un mirador et vous verrez à quel point on peu s'amuser avec des lunettes de vision nocturne !

Alleï, au revoir tout le monde !


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jeudi 17 janvier 2008

Du voyage (2)

Et bien, et bien, pas de nouvelles depuis dimanche, et ça ne va pas aller en s'arrangeant, vu que je pars pour le Cameroun. Oui mais me direz-vous, "hein ?". Il s'agit d'une mission de courte durée, de l'ordre d'une semaine, pendant laquelle je n'aurai pas le net. Je ne peux pas vous en dire plus. A ce rythme, en février j'irai faire trois jours en Iran, début mars je m'occupe de la Corée du Nord et fin avril promis, je détruis l'Empire intergalactique.

Bref, assez parlé de mois, et revenons plutôt à moi, et à cette somme toute bien dense seconde partie de mon voyage.

Seconde partie (vient après la première, contrairement au Lycée) :
Ce lundi 7 janvier restera dans toutes les mémoires, ou du moins, dans la mienne, comme le jour du départ. Whoa, no shit, Sherlock !
Il était tôt, très tôt (ahah, tréteau) lorsque le bus nous emmèna loin du Fort de l'Est, à l'aéroport Roissy Charles De Gaulle ou quelque chose comme ça. A croire que l'énarque qui a pondu le nom du bouzin était payé à la ligne (et ne confondons pas avec le brochet, qui lui est pêché à la ligne).
4 petites heures plus tard (sic) j'étais sis dans un magnifique Airbus aux couleurs de la république, avec des compagnons d'autres régiments, qui s'en allaient tout comme moi suivre leur destin noir africain (et impaludé).

Dirai-je ô combien je me fis chier la rate au carré ? Non, trois fois non, je ne le dirai-je pas. Mais putain, qu'est-ce que je me fis chier la rate au carré ! Pour vous dire, j'ai falli succomber et regarder le film projeté, alors même que j'avais cru y voir Ben Stiller. Brr.
Le plus intéressant, aussi, ne fut pas spécialement le pur produit de 5 générations d'amours consanguines que se trouvait être mon voisin (persuadé, le fou, que sa vie me passionnait), mais bel et bien les informations de vol.

Je vous les retranscris ici dans leur vérité crûe :
Hauteur de vol : 11000 mètres. 11000, code postal de Carcassonne. Holy fuck !
Température : -50 PD°C (pour Putain De Degrés Celsius)
Heure, Temps de vol restant, Trajet restant : oui alors là, désolé mais ça changeait tout le temps.
Edifiant, n'est-ce pas ?

Bref, comme disait Pépin, après 4800 km effectués en 5H et 45 minutes, l'avion s'est posé sur la piste en, heu, je sais pas quoi mais pas de qualité européenne, vomissant ses 300 passagers (à la louche, et puis ça fait une référence excellente à un film qui ne l'est pas moins) avides de mer, de sexe et de soleil.
Et là, mes amis, ça a fait "erf". Sachez que ça fait toujours "erf" quand vous passez d'une atmosphère de 20°C à sa copine de classe de 32°C. Erf est suivi dans les 5 secondes d'un regard entendu au camarade le plus proche.

Le camp du 43ème Bataillon d'Infanterie de Marine, ou 43è BIMA est situé à pas 2 kms de l'aéroport. La pitite portion de route nous en séparant fut donc une parfaite occasion de découvrir Abidjan. Et là, c'est la déception : en fait, c'est vraiment "comme à la télé". L'odeur en plus. C'est sale, c'est pauvre, et, les pauvres n'ayant aucun goût, c'est moche. Mon brave cerveau de mouton occidental à la solde du grand Capital ne trouva de répit qu'une fois à mon régiment d'accueil, que je savais pourvu des derniers raffinements que notre civilisation supérieure peut apporter : internet, de l'eau en bouteille et des noirs qui font la lessive.

Et pour résumer le finish ? Installation dans les chambres (de 8, mais je m'en fous j'ai un mini bureau pour l'ordi !), premières consignes, et roulez jeunesse !

Voilà, je ne vous retrouve pas avant une semaine a priori, soyez sage, et yo wesh wesh t'as vu, kas-dé-di à Marcel, le lavandier ivoirien d'en face, qui nous ramène niquels chrome le soir les vêtements sales déposés le matin ; )

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dimanche 13 janvier 2008

De la vidéo

YES ! Ahah, en fouettant vigoureusement l'ivoirien dans la cave, pardon, en motivant le jeune homme à tout faire du bâtiment, j'ai réussi à obtenir assez de débit pour uploader, WIN ! Joie :





Oui, j'ai les yeux en vrac. Oui, j'ai l'élocution en vrac. Oui, j'ai des collègues en vrac. Oui, j'ai peut-être l'autorisation de/de pas mettre leur bouille en ligne ou pas. Non, Delphine, je ne t'avais jamais parlé de cette "maman" auparavant, on en discutera quand je rentrerai je t'aime mamour bisou bisou bisou allez raccroche nonnonononon c'est toi qui raccroche à trois alors un deux oui bisou trois.

Salope.

Allez va, à pelusseuh !

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vendredi 11 janvier 2008

Du voyage (1)

AHAHAHA !
Oui, j'existe, toujours, encore et plus fort. Et je suis actuellement à Abidjan, ville qui est une franchise de la holding bien connue des Cercles de l'Enfer. Grâce au sacrifice d'un rein et à la vente de mon âme, deux articles qui vous en conviendrez, et si vous en conviendrez pas ça va mal se passer, ne me seront d'aucune utilité ici, j'ai réussi à me procurer un peu de nourriture et une connection à l'Interweb.

Vous serez donc ravis d'apprendre que je vais bien, et je sens déjà pointer sur vos lèvres toutes douces LA question : "lol ya dé renois mdr ?". Oui, il y en a. Mais entre nous c'est vraiment une question de naze, et j'ai horreur d'être lu par des nazes. Enfin. Si toutefois la question était, "est-ce que comme Ulysse, heureux, tu as fais un beau voyage ?", vous en avez de la chance, je vais y répondre plus longuement.

Demain.

...

AHAHAHAH bis, je vous ai bien eu. Nan, je vais vous conter ça en deux parties...

La première partie :
Tout le monde s'en souvient, je travaille, ou plutôt, je m'occupe de manière ponctuelle et grassement rémunérée, du côté de Marseille. Il était donc parfaitement logique, ce dimanche 6 janvier 2008, de partir en bus pour Paris. Paris.
C'est à ce moment là que j'ai compris que la Fée qui s'était penchée sur cette délicieuse escapade possédait un CAP de l'école du rire. Ou elle avait bouffé un clown. Ou elle était ronde comme une queue de pelle (c'est connu, les pelles, ça se roule). Ou elle était née un 26 octobre.

Comment décrire 13 heures d'autoroute en autocar... prenez la sympathique émission Des Chiffres et des Lettres. Passez-la en boucle pendant une demi-journée. Vous obtiendrez un aperçu de brouillon de commencement d'essai d'ersatz de protoype d'esquisse de ce qui s'est passé dans ce bus dès lors que la batterie de mon excellent portable Dell (pub gratuite) a rendu l'âme (3h).

Mais parfois les mots sont impuissants à rendre compte de la dureté de certaines situations (notamment le diamant. C'est très dur.). Je vous propose de visionner ce petit quelque chose, qui vous atteindra je n'en doute pas au fond d'un coeur que je devine partiellement encombré de cholestérol.

Edit : ah, notre service technique me fait savoir que suite à une connection de merde l'upload de la vidéo relève du parcours du combattant et que, comme il est hors de question que je fasse un parcours pour VOUS, vous ne la verrez pas de suite. Jamais, s'il faut. Sorry !

Enfin bon, après ce trajet, passionnant s'il en est, nous fûmes (avant que la vie te fume) hébergés près du Stade de France, au Fort de l'est, car il est de tradition en France de placer une caserne près d'un stade. C'est tout à fait normal, car parfois s'y déroulent des matchs de foot, et c'est pas des gens comme nous.
Aussi, je trouve extrèmement suspecte la présence de "^" dans "fûmes". Heureusement que je ne me trompe jamais.

La fin de soirée et la "nuit" passées sur place ne sont absolument pas dignes d'intêret, sauf si vous êtes fétichistes de, heu, moi. Toujours est-il qu'après maints et fastidieux temps d'attente, nous étions réunis devant l'aéroport Charles de Gaulle le lundi 7, vers trop-tôt du matin...

La suite plus tard. Dès que ça me sera arrivé. Ahem, dès que j'aurai envie. Ahem, dès que mon harassant job m'en laissera le temps. Si je suce le geolier. Bye !

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samedi 5 janvier 2008

On the move

Bonjour mes ouailles, et au revoir.

D'ici une paire d'heures je retourne en caserne, de là je prends le n'autocar jusqu'à Paris, décollage prévu de Charles de Gaulle lundi !

Je ne sais absolument pas quand je pourrai profiter d'internet, une fois sur place, mais dans le doute, actualisez cette page au moins 40-45 fois par jour.

Pour ceux qui ne s'en souviendraient pas, la touche F5 est placée de manière tout à fait idoine entre la touche F4 et F6.

See you soon : p

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